Je me suis approchée d’une pierre, je l’ai écoutée me parler

10 juin 2023 – 2 septembre 2023

27 Rue Saint Pierre, Senlis

Du 10 juin au 2 septembre 2023, la Galerie F. vous invite à vous immiscer dans les compositions d’archivistes et les investigations plastiques de Marie Hervé et Elsa Martinez, réunies en duo sous le nom Sand of Noises, au sein de l’exposition « JE ME SUIS APPROCHÉE D’UNE PIERRE, JE L’AI ÉCOUTÉE ME PARLER »

Diplômées de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles, Marie Hervé et Elsa Martinez conjuguent photographie, écriture et travail plastique à travers leur duo initié en 2019, et explorent l’espace Méditerranéen comme lieu de diversité, pour en déceler les traces de ce qui est dénommé en Occident comme “la Grande Histoire”, et ainsi questionner ce rapport à la mémoire, aux mythes, aux monuments qui constituent notre vécu. 

Marie Hervé développe sa pratique entre Turin et Marseille. Artiste visuelle et auteure, elle explore l’usage du document et notre rapport aux archives collectives comme personnelles. 

Elsa Martinez inscrit son travail dans une recherche sur la latence du temps, la question de la préservation, de l’émergence mais aussi de l’obsolescence, qui s’articule entre le chantier et la ruine, le dialogue entre passé et présent.

À travers leur duo Sand of Noises, Elsa Martinez et Marie Hervé développent un corpus d’images qui évoquent des lieux communs, collectifs, entre la France et l’Italie du Sud, en passant par la Grèce, le Maghreb, Malte, la Corse ou encore la Sicile.


Par ces peaux, dans ces lieux on se rejoint.

11 mars 2023 – 30 avril 2023

27 Rue Saint Pierre, Senlis

Du 11 mars au 30 avril, la Galerie F. vous invite à découvrir les mondes intimes et oniriques de Lucie Antoinette et Léa Toutain, au sein de l’exposition « Par ces peaux, dans ces lieux, on se rejoint » .

Étudiantes à l’École des Beaux-arts de Paris, dans l’atelier du peintre Tim Eitel, respectivement en cinquième et quatrième année, les deux artistes investissent et explorent le corps même de la peinture. Tout au long de l’exposition, Léa Toutain et Lucie Antoinette nous plongent au cœur de scènes silencieuses et de paysages atemporels, articulés autour d’impressions du quotidien et de territoires imaginés. Chacune façonne des paysages intérieurs, des espaces mentaux propices à la contemplation et à l’imagination.

Léa Toutain peint ses contemporains occupés, absorbés par une activité, des personnages accomplissant des tâches manuelles, de la réalité d’un geste peint à la traversée d’un paysage abstrait. Réalisées à partir de photographies, ces images, de touts petits et très grands formats, traduisent les impressions de l’artiste, « entre regard d’observation et voyeurisme doux de [son] entourage. » Dans ses paysages et scènes d’intérieurs, elle exalte l’intime et transfigure la banalité du quotidien, conjuguant savamment l’intériorité des sujets portraiturés à la subjectivité de son propre regard. Les visages sont fuyants, les figures nous échappent partiellement, diluées dans la vivacité du geste, les empâtements, l’épaisseur même de la matière picturale. La touche instinctive et vibrante de l’artiste façonne des espaces de contemplation lumineux et chaleureux, dans lesquels chaque subjectivité est invité à se projeter. Rêverie et absorption s’ouvrent au spectateur, immergé à son tour dans ces environnements colorés.

Lucie Antoinette nous envoute et nous déroute. La figure humaine disparaît ne laissant derrière elle que quelques traces de sa présence dans des paysages surréels. Entre ciel et mer, rêve et artifice, le spectateur est plongé dans un espace multiple et complexe, en marge du réel. Chaque image correspond à l’instant précis d’un récit plus large, à la parcelle d’un territoire liminal et onirique, où s’expérimente le médium pictural. L’artiste superpose les couches de peintures, des lavis de bleus, qu’elle vient parfois creuser, rayer, révélant les multiples strates et « peaux » qui recouvrent ses toiles. Les plans se confondent, se complètent, s’équilibrent. Les réalités et les apparences coexistent, obéissant à une logique implicite proche de celle du rêve. Les œuvres de Lucie Antoinette dessinent des espaces intermédiaires, des lieux d’entre-deux où cohabitent le réel et son double, en somme des paysages intérieurs où s’entremêlent observations et imaginaire.

Le geste de l’artiste ne cesse de s’éprouver, de se révéler. Il nous happe et nous plonge dans le corps de la peinture, immergeant notre regard dans la sensation colorée de ses « peaux » superposées. Les toiles de Lucie Antoinette et Léa Toutain offrent aux regardeurs des instants de repli et de repos, des moments suspendus hors du temps exaltant l’intimité de l’expérience picturale.

Lucie Antoinette et Léa Toutain


Je lui ai volé cet instant et je le rends à l’éternité.

21 janvier 2023 – 11 février 2023

27 Rue Saint Pierre, Senlis

La Galerie F. est heureuse de présenter la première exposition personnelle de l’artiste WILFRID GUERIN « Je lui ai volé cet instant et le rends à l’éternité ». Ouverte du 21 janvier 2023 au 11 février 2023, au 27 rue Saint Pierre, Senlis.

« J’aime l’idée que le dessin puisse maculer vos doigts et qu’il vive de l’un à l’autre, sans fin. J’aime l’idée d’une couleur qui vole au risque de disparaître
Issu d’un milieu où l’art n’avait pas sa place, j’ai appris seul, en autodidacte. Il m’a fallu des années de recherches, d’essais de matières et une boulimie de travail pour enfin déterminer mon mode d’expression idéal : le pastel.
J’aime son toucher, sa pureté, sa vérité, sa volatilité et sa fragilité.
Parce qu’il est important pour moi dans ma démarche artistique de traduire « la fragilité ». La fragilité de ces instants où l’on s’égare, où l’on s’évade où l’on s’oublie…
Dans mon travail, je représente des inconnus, des amis, la famille, des proches vivants ou morts toujours accompagnés d’une couleur dominante. Couleurs qui nous éclairent et traduisent, nos sentiments, nos émotions, nos croyances…elles se font l’écho de toute notre complexité.
Ces instants il me faut les capturer, les toucher, les faire pénétrer dans la toile. Non pas pour les figer, car le pastel est volatile, il se propage, il vole. Mais bien pour les partager, parce que s’ils n’étaient pas protégés par un verre, ils se retrouveraient, je l’espère sur toutes les mains et se transmettraient d’une personne à une autre. »

WILFRID GUÉRIN


Vivre le beau et s’en souvenir tous les jours

01 décembre 2022 – 14 janvier 2023

27 Rue Saint Pierre, Senlis

Quelques semaines avant les fêtes de fin d’année, la Galerie F présente « Vivre le beau et s’en souvenir tous les jours », une exposition ouverte du 01 décembre 2022 au 14 janvier 2023, au 27 rue Saint Pierre, Senlis.

À travers peinture, dessin, pastel, sculpture, photographie, la Galerie F vous invite à découvrir ou redécouvrir les travaux des artistes qu’elle soutient et à vous laisser transporter par leurs mondes enchanteurs. Petits, moyens, grands formats, l’ensemble des œuvres exposées sont proposées à la vente à des prix allant de 15 à 3 500 €, des idées de cadeaux accessibles et variées, offrant la possibilité à chacun de « vivre le beau et [de] s’en souvenir ».

Les artistes exposés :

ELSA ABDERHAMANI

NOUR AWADA

CASSIUS BARON

ISABELLE CAVALLERI

CLÉMENT FOURMENT

MAX FREUND

WILFRID GUÉRIN

NANNA KAISER

TEREZA LOCHMANN

STÉPHANIE MANSY

CAMILLE MERCANDELLI-PARK

THILLELI RAHMOUN

DUNE VARELA


SPACE ODDITY

17 septembre – 12 novembre 2022

27 Rue Saint Pierre, Senlis

Communiqué de presse

Du 17 septembre au 12 novembre 2022, la GALERIE F présente SPACE ODDITY, une exposition consacrée aux travaux de EUNWAN HAN et ROBINSON HAAS. La Fondation présentera des œuvres de la collection Francès réalisées par Élodie Antoine et Philippe Decrauzat.

Titre de la fameuse chanson de David Bowie sortie en 1969, elle-même inspirée du film 2001, L’Odyssée de l’Espace (Stanley Kubrick, 1968), SPACE ODDITY est une ode aux bizarreries de l’espace et perturbations visuelles. Les œuvres présentées, dessins, tableaux et sculptures souples, multiplient les effets d’optique et distorsions visuelles pour proposer aux visiteurs une véritable expérience sensorielle et sensible.

L’hybridation des matériaux et des formes, l’usage de l’encre métallique d’un stylo bille, la superposition de lignes ondulantes ou encore l’introduction d’une troisième dimension dans une œuvre bidimensionnelle, sont autant de ruses dont usent les artistes exposées pour cultiver décalages et dissonances dans l’espace pictural.

Space Oddity c’est une invitation à faire l’expérience d’un espace perturbé et perturbant, un moment hors du temps offert “à ceux qui encore peuvent échapper, ne serait-ce qu’un instant, aux logiques implacables de notre monde” (Eunwan Han). 


LA VIE EST UN ENTRE-DEUX III

14 mai – 25 juin 2022

27 Rue Saint-Pierre, Senlis

La Galerie F. est heureuse de présenter du 14 mai au 25 juin 2022, le dernier volet de son cycle d’exposition-ventes « La vie est un entre-deux ». Ce troisième temps inédit propose de mettre en dialogue une œuvre de la collection Francès réalisée par Houston Maludi et les œuvres de deux jeunes artistes talentueux Thilleli Rahmoun et Clément Fourment.

Après deux expositions consacrées à des couples d’artistes, Isabelle Cavalleri et Jörg Langhans puis Cat Loray et Clément Borderie, le troisième volet propose un pas de côté et aborde la notion d’entre-deux et de dialogue sous un nouveau point de vue.

Face à la troublante vision panoramique de Houston Maludi, nous avons souhaité confronter deux mondes tout aussi déroutants, celui de Thilleli Rahmoun et de Clément Fourment, prolongeant ainsi leur présence au Salon Drawing Now du 19 au 22 mai 2022. Au-delà du contexte amoureux et de la cellule couple précédemment mis en avant dans notre cycle d’expositions, ce troisième temps propose de réunir trois artistes autour d’un médium commun : le dessin. À la fois point d’ancrage et de rupture, la ligne du dessin nous guide et nous perd au cœur d’architectures plurielles oscillant entre une réalité et son double.


DRAWING NOW ART FAIR

19 – 22 mai 2022

Carreau du Temple, Paris

La Galerie Françoise participe à la 15e édition du Salon du Dessin contemporain DRAWING NOW ART FAIR au Carreau du Temps. Elle y présente une sélection de 12 artistes : ELSA ABDERHAMANI, CASSIUS BARON, ISABELLE CAVALLERI, FLEURYFONTAINE, CLÉMENT FOURMENT, ROBINSON HAAS, JÖRG LANGHANS, TEREZA LOCHMANN, STÉPHANIE MANSY, CAMILLE MERCANDELLI-PARK, THILELLI RAHMOUN.


LA VIE EST UN ENTRE-DEUX II

11 février – 24 avril 2022

27 rue Saint-Pierre, Senlis

Après un premier temps dédié aux œuvres respectives d’Isabelle Cavalleri et Jörg Langhans, la Galerie F présente une seconde exposition du vendredi 11 février au dimanche 24 avril 2022. Ce deuxième temps souhaite révéler les atouts d’un territoire en termes d’installation et d’inspiration des artistes et exprimer la force d’un duo par l’amplification du geste et la résistance qu’elle convoque. Animé par la notion de transmission du geste, il s’ouvre sur des sensibilités différentes, entre art et design contemporain, incarnées par : CAT LORAY ET CLÉMENT BORDERIE

Officiant dans des ateliers bien distincts, Cat Loray et Clément Borderie ont été invités à révéler leurs œuvres respectives en duo, poursuivant notre réflexion sur les couples d’artistes et duos dans l’art. Dans chaque espace d’exposition, leurs pratiques artistiques sont amenées à dialoguer, à se répondre allant jusqu’à se juxtaposer et fusionner au sein d’œuvres réalisées à quatre mains. La cohabitation de leurs travaux respectifs ouvre un espace d’échange et de réflexion sur le temps, l’espace et le geste. Œuvre collaborative à grande échelle, elle redessine et reconfigure l’espace d’exposition pour proposer au visiteur d’en faire véritablement l’expérience.

© Max Borderie


LA VIE EST UN ENTRE-DEUX I

18 septembre – 17 décembre 2021

27 rue Saint-Pierre, Senlis

Pour la saison 2021-2022, la Galerie F est heureuse de présenter un cycle d’expositions-ventes consacrées à des artistes internationaux vivant en couple sur le territoire des Hauts-de-France. Du samedi 18 septembre au vendredi 17 décembre 2021, nous avons l’immense joie d’inaugurer cet évènement avec un couple d’artistes installés dans l’Oise depuis 15 ans : ISABELLE CAVALLERI & JÖRG LANGHANS

Ils officient dans deux ateliers bien distincts, installés dans leur maison à Angy, un village situé dans l’Oise, à 80km de Paris. Deux univers différents traduisant leur singularité propre, jusque dans la manière d’organiser leur espace, l’un imaginé comme un chaleureux cabinet de curiosité où foisonnent des cartes illustrées d’oeuvres de maitres anciens, d’objets récupérés, d’animaux naturalisés, un lieu d’inspiration et de conservation de livres illustrés jadis par Isabelle Cavalleri, un espace délicat à l’image de sa pratique, le dessin. Tandis que Jörg Langhans nous ouvre les portes d’un atelier spacieux, lumineux et brut, une version bétonnée et imparfaite où fourmillent chevalets, palettes roulantes, résidus de végétaux suspendus et pots de peintures dégoulinants. Deux antres aux énergies contraires qui pourtant laissent apparaitre en filigrane une double sensibilité pour les choses de l’esprit, la littérature, la musique, et la poésie. Des inspirations communes qui leur permettent de poser un regard égal sur le monde qui nous entoure.


MÊME POUR LE SIMPLE ENVOL D’UN PAPILLON, TOUT LE CIEL EST NECESSAIRE

19 juin – 28 août 2021

27 rue Saint-Pierre, Senlis

Du samedi 19 juin au samedi 28 août, La Galerie F présente « MÊME POUR LE SIMPLE ENVOL D’UN PAPILLON, TOUT LE CIEL EST NECESSAIRE », en partenariat avec la Fondation Francès. 

« MÊME POUR LE SIMPLE ENVOL D’UN PAPILLON, TOUT LE CIEL EST NECESSAIRE » est une exposition-vente ouverte à la création émergente, proposée en réponse au contexte de la crise sanitaire pour soutenir les artistes et la diffusion des œuvres.

Seize œuvres présentées à la vente, réunies autour d’une thématique, s’imposant par leurs qualités intrinsèques et leur capacité à émouvoir. De ce fait, elles provoqueront indubitablement l’envie d’être contemplées ou de rejoindre l’intimité d’une collection.

« MÊME POUR LE SIMPLE ENVOL D’UN PAPILLON, TOUT LE CIEL EST NECESSAIRE » se présente tout d’abord comme une exposition hors du ton d’une époque dominée par les nouvelles technologies et les recherches incessantes de nouveaux concepts esthétiques. Cette exposition s’inscrit davantage dans l’expérience, celle des émotions qui ne cessent de jouer en s’interrogeant, faisant de multiples allers-retours dans l’histoire de l’art et des techniques et révélant à la manière d’une aventure incommensurable, tout le pouvoir de l’art.

Neuf jeunes artistes internationaux exposés, dont huit femmes, réunissant des constructions d’univers singuliers où l’on retrouve un attachement aux pratiques classiques et artisanales comme la peinture, la sculpture et la gravure. Par ce biais, ces artistes accomplissent un exorcisme habile, tantôt puissant, tantôt joyeux, redirigeant le regardeur sur le rail des sensations. Il ne s’agit pas là d’un tour de passe-passe faisant passer la technique et le processus artistique au-dessus de tout propos, mais de reconnaitre également un récit continuel, une fable prophétique et magique qui se créent à travers ce corpus d’œuvres aux supports variés.

Pour autant, il est évident que ces artistes ont cette capacité à servir une technique et à déployer une force dans la fabrication de leurs œuvres afin que le regardeur saisisse l’énergie du geste. Survient alors l’obstination de l’artiste pour son travail dans lequel naît la beauté d’un envol, c’est l’œuvre qui apparaît.


CHANGE

17 septembre – 23 décembre 2020

27 rue Saint-Pierre, Senlis

Sur le thème de la transformation individuelle et environnementale, une sélection d’œuvres des artistes de la Galerie F sont mises en regard des œuvres de la collection Francès.

Face à la crise environnementale de ces dernières années ainsi que la crise sanitaire que nous subissons actuellement, les mentalités ont plus que jamais ressenties le besoin d’un changement. Les enjeux de celle-ci s’activent à différents niveaux : l’écologie, l’environnement, la manière de vivre, la santé, le corps, les perspectives professionnelles, le domaine politique et le numérique.

Ces différentes crises ont permis d’ouvrir les consciences et de se recentrer sur l’essentiel. Un retour vers soi, vers ce qui nous anime le plus, en profondeur, sans injonctions sociétales. Une crise de valeurs en somme, encore fragile mais qui amorce une impulsion vers une réinvention du monde. Utopique ou bien réelle, ce changement est malgré tout une réflexion bien ancrée de ces dernières années et qui pousse notre société d’aujourd’hui à enclencher des changements, qu’ils soient personnels, professionnels, politiques, ou écologiques. Certains pour survivre, d’autres pour faire sens.

Le numérique n’y échappe pas, il est d’ailleurs en première ligne, une porte de secours pour des temps incertains. Communiquer, se réunir, créer, travailler, se divertir… le numérique est en passe de changer de nombreux métiers et de nouvelles façons de vivre. Et c’est ainsi que notre rapport au temps et à l’espace en est bouleversé et a révélé nos failles. Prendre conscience et vouloir réparer, c’est aussi transformer notre rapport à la nature et à l’environnement. Antinomie du numérique, ils se rejoignent pourtant dans la manière où nous souhaitons organiser nos vies. Le temps du numérique est associé à la prise de conscience environnementale. Mère-nature vue comme un retour aux origines.

Se réinventer. Par cette exposition-vente, nous souhaitons offrir un panel d’œuvres sur ce vaste sujet, actuel. Des sculptures, aux installations, en passant par la peinture et le digital.

Artistes de la Galerie F : 

Nour Awada, Clément Borderie, Coline Dupuis, Sandrine Elberg, Fleuryfontaine, Charles Le Hyaric, Alexis Guillier, Ludivine Large-Bessette, Stéphanie Rizaj.